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Aujourd’hui, réunion des membres du nouveau Comité d’Hygiène Sécurité et Conditions de Travail.
Election du secrétaire du CHSCT
Pour un monde plus juste et plus humain.
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Aujourd’hui, réunion des membres du nouveau Comité d’Hygiène Sécurité et Conditions de Travail.
Election du secrétaire du CHSCT
17 jun 2008 Par La rédaction Mediapart
Pour Mediapart, le président de la CFTC, Jacques Voisin, fustige le projet de loi sur la représentativité, présenté ce mercredi en conseil des ministres. «On risque de voir disparaître, demain, trois organisations syndicales». Jacques Voisin met en cause l’attitude des grands syndicats, CGT et CFDT, qui ont accepté le texte. «La CFDT signe tout et n’importe quoi, au nom de prétendues avancées sociales.» Quant à la CGT, elle est selon lui «un syndicat grincheux qui a toujours été contre toute évolution». Voici son texte.
«Avec la réforme de la représentativité syndicale qui devrait être votée par le Parlement cet été, les pouvoirs publics jouent avec le feu. Au nom de la démocratie sociale – c’est du moins la raison avancée par la CGT, la CFDT et du Medef – et de l’efficacité – c’est l’argument du gouvernement – on risque de voir disparaître, demain, trois organisations syndicales.
Or, la démocratie est la grande absente de ce projet de loi. D’abord parce que le projet de loi, actuellement en cours de discussion, fait l’objet de marchandages éhontés entre le gouvernement, le Medef et la CGT-CFDT, dans le dos des salariés, au nom des seuls intérêts de boutiques.
Ensuite parce qu’on est en train, ni plus ni moins, de rétablir le suffrage censitaire, système électoral selon lequel seuls pouvaient voter ceux qui payaient l’impôt, c’est-à-dire les plus riches ; les plus pauvres ne disposant donc pas du droit de vote.
Demain, seuls les salariés des entreprises de plus de 10 salariés pourront voter. Soit plus d’un million et demi d’entreprises sur un total de 2,6 millions et plus de 24 % des salariés qui n’auront pas voix au chapitre et qui sont souvent ceux qui ont le plus besoin d’être défendus. Enfin, parce que, si ce projet de loi est adopté en l’état, on peut dire adieu au pluralisme syndical.
Ni «béni oui oui», ni «grincheux». D’un revers de main, les complices du jour renverraient aux oubliettes les victoires sociales que des syndicats dits «petits» ont contribué à construire, contre un syndicat béni oui-oui (ou d’accompagnement), la CFDT, qui, après une phase gauchiste et autogestionnaire, signe tout et n’importe quoi, au nom de prétendues avancées sociales, mais qui ne sont, en fait, que la pommade sociale qui accompagne des mesures libérales.
Contre un syndicat grincheux, la CGT, qui a toujours été contre toute évolution, emmuré dans une doctrine politique qui a depuis la chute du mur en 1989, montré les nuisances auxquelles elle peut conduire, syndicat qui n’a jamais voulu engager sa signature, laissant les autres prendre les risques à sa place.
La CFTC a toujours été un acteur majeur du dialogue social sur tous les sujets ; la CFTC est constructive et exigeante, lorsqu’elle participe à la négociation, c’est pour aller jusqu’au bout puis signer, comme elle l’a fait avec la réforme du marché du travail (contrairement à la CGT) ou non, comme par exemple en 2003, pour la réforme des retraites.
Contrairement à la CFDT qui a négocié sa signature et sa place de «leader des organisations réformistes» avec les cabinets ministériels, promettant aux salariés nombre d’améliorations, dont la prise en compte de la pénibilité au travail, avec le succès que l’on constate aujourd’hui. (…) Pourrait-on parler de démocratie s’il n’y avait plus que deux partis politiques ? On nous dit, également, que réduit à deux organisations, le syndicalisme français sera plus efficace, les adhérents plus nombreux et les salariés mieux défendus.
Cet argument ne tient pas plus la route que celui de la démocratie. Serions-nous mieux informés s’il n’y avait que deux journaux ? C’est la diversité qui crée l’adhésion, pas l’uniformité.
«Instrumentalisation du syndicalisme» Il est paradoxal, à l’heure où l’on prône la liberté d’entreprendre, où l’on pousse les Français à créer leur propre entreprise, à élever au rang de valeur fondamentale et universelle la concurrence, de tout mettre en œuvre pour limiter la liberté de se syndiquer.
Vers qui se porteront les voix qui vont aujourd’hui sur la CFTC ? Il y a fort à parier que la plupart d’entre elles seront perdues. Imaginer que les adhésions se reporteront sur les deux organisations restantes c’est faire preuve de naïveté ou d’une méconnaissance des salariés qui sont attachés au pluralisme.
Pour toutes ces raisons, la CFTC a refusé de signer la «position commune» du Medef, de la CFDT et de la CGT. Une «position commune» qui contient en germe la fin de nombreux acquis sociaux. Jusqu’à la loi Fillon de 2004 réformant le dialogue social, la loi constituait un socle minimal qui s’imposait à tous, mais que des accords de branche ou d’entreprise pouvaient améliorer.
La loi Fillon a permis de revenir sur cette pratique. La loi Bertrand sur le dialogue social, va désormais permettre aux entreprises de faire leur propre loi… avec la bénédiction de la CGT et de la CFDT qui espèrent par ce biais conforter leur implantation dans les entreprises aux dépens des autres organisations syndicales confédérées ou autonomes.
La CFTC ne peut se satisfaire d’une telle instrumentalisation du syndicalisme et avec Force-Ouvrière et avec tous les syndicats et les salariés qui sont attachés à un syndicalisme de terrain, non soumis aux aléas politiques des appareils, elle lance une pétition sur des questions clés comme le pouvoir d’achat, les retraites et la durée du travail.»
INFORMATION CFTC Brèves de sortie de réunion. Le 29 aout 2008: Comité d’Etablissement à Reims.
Bonnes Vacances à Toutes et à Tous… |
INFORMATION Accidents d’ascenseurs !
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INFORMATION CFTC Brèves de sortie de réunion. Le 27 juin 2008: Comité d’Etablissement à Reims.
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INFORMATION Social & Culturel SPECIAL FOOT - Nancy Lorraine NANCY – Votre C.E. vous gâte, il a réservé des places de choix… 2 places côte à côte – virage 2 – mis hauteur 2 pass pour la saison 2008/2009 le calendrier des matches et les réservations se feront auprès de : Stéphanie FRANCOIS Pour plus de renseignement contacté Stéphanie FRANCOIS agence de Nancy info du 23 juin 2008 |
Communiqué de votre C.E.
Soirée Karting pour les agences Schindler de Metz et de Nancy 21 juin 2008
Tout d’abord un grand merci à tous les participants… et n’oublions pas : Stéphanie et Philippe qui nous avaient concoctés cette soirée.
Ce fut une très bonne soirée…
Elle a commencé à 18:00 pour les gens de Nancy, qui étaient sur places. Les gens de Metz nous ont rejoints à 19:00 en bus affrété pour l’occasion.
Les petits étaient à la fête, un championnat était prévu pour eux en lever de rideaux, ils se sont régalés et n’avaient rien à envier à leurs ainés.
Pendants que les petits chenapans se donnaient à la conduite sur piste, l’apéritif était servi pour détendre l’atmosphère entre les collaborateurs Schindler.
Les sélections adultes se sont faites, lors du diner. Philippe avait préparé conjointement avec le Directeur de course du “Karting Oberlin” les équipes qui allaient s’affronter sur la piste.
Toute la soirée, les collaborateurs Schindler se sont donnés à la joie de la course sur circuit. Certains découvraient le karting et d’autres étaient déjà plus aguerris à la conduite sur piste. Les tours de piste ont défilés jusqu’à tard dans la nuit… Ce n’est qu’après, passé minuit, que les prix ont pu être distribués… sur les 3 dernières finales par catégorie, les champions étaient :
PS : rappelons que l’agence de Metz avait écrasé celle de Nancy en « Paint Ball ».
Encore une fois un grand merci à tous les collaborateurs qui étaient venus nombreux avec leurs familles.
Les élus du Comité d’Etablissement tiennent à remercier tous les participants à la soirée
info du 23 juin 2008
Les prix flambent à la pompe...
Nombre de votants: 51 ![]() Sondage effectué du 29 avril au 21 juin 2008 |
Un ado de 14 ans a été tué hier soir, les vertèbres cervicales brisées par un ascenseur dans un immeuble de Paris XVIIème. C’est le deuxième accident mortel de ce type depuis le début du mois dans la capitale…
Il est 21h hier soir dans cette cité tranquille du square de l’Aveyron, dans le XVIIème arrondissement de Paris. Un square d’immeubles brique des années 30, le long des boulevards des Maréchaux. Elyes, 14 ans, remonte chez lui par l’escalier pour aller voir le match de foot Allemagne-Portugal. C’est à ce moment qu’un de ses camarades l’interpelle depuis un étage inférieur. Elyes passe la tête au-dessus de la grille de protection de l’ascenseur, sans se rendre compte que la cabine est en train de descendre. L’appareil lui brise les cervicales, l’adolescent décède sur le coup.
Cet accident n’est pas sans rappeler celui qui a coûté la vie au début du mois à un ouvrier qui effectuait des travaux de mise aux normes, dans une copropriété du XIVème arrondissement. L’homme avait été tué sur le coup, écrasé par la cabine, et l’un de ses collègues grièvement blessé. Deux accidents mortels en quelques semaines, dans des ascenseurs vétustes.
S’agissant du drame d’hier soir, la cabine avait été rénovée très récemment, selon l’Office HLM de la Ville de Paris (Opac). Mais pas la protection extérieure de la cage d’ascenseur, entourée de grilles de seulement 1,70m de haut.
La sécurisation de la cage est une opération techniquement très complexe, qui ne peut être conduite que par des spécialistes. Elle consiste à rehausser les grilles de protection, fabriquées au préalable sur mesure. Ces travaux « demandent une grande qualification (et) supposent un arrêt des cabines qui peut aller jusqu’à 9 semaines, très peu de gens savent le faire », précise l’Opac.